jeudi 30 août 2018

C'est un peu noir, dans mon cœur le désespoir.

La musique me transporte dans mon âme où s'enchaîne des amours qui se pâment.
Alors dans ma folie je pense à toi trop loin de ma vie et de mes bras.
Je me perd souvent dans l'immense disharmonie douloureuse de ton silence.
Mes sentiments se confondent enfin dans remue ménage sans fins.
Je sais ce que qu'il me reste a faire et que je vais devoir a jamais me taire.
Et contempler ton fantôme érogène danser nue dans mes rêves exogènes.
Toi qui fût portée par la lumière perçant dans mon cœur des meurtrières.
Jamais je ne trouverai ton alter-ego dans ce monde noyés de vieux mégots.
Mais tu ne veux plus de moi et les enfers se déchaînent dans mes émois.
Mon imagination naguère si fertile s'est muée en poison tueur de reptile.
Mon sang n'en finit plus de couler sur ma peau de toute part lacérée.
La Civilisation n'a plus qu'a disparaître qu'elle aille entière se faire mettre.
Je n'aime plus que la poussière qui dans sa sagesse brille dans la lumière.

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